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« On retiendra les envoûtants concerts de Sirènes musicales de la compagnie Mécanique Vivante.(…) L’alliance de la recherche technologique et de la composition musicale est aussi le propos de Franz Clochard. (…) Sept ans de recherche auront été nécessaires pour offrir à la sirène d’alerte les vertus d’un véritable instrument de musique ».

« Jouant avec les fréquences, les quintes et les tierces, le souffle et le coffre, les vents dominants et la propagation des sons, le chant des sirènes est un concerto pour grandes villes, un désir de paquebot prenant le large. (…) Un concert de Sirènes sur commande, même l’Ulysse d’Homère n’aurait pas imaginé ça ».

« Les sons les plus surprenants, les musi-ques les plus originales se mélangent aux bruits familiers. Hier pourtant, il s’est produit quelque chose d’insolite en ville, de rare, d’inconnu. Ceux qui se trouvaient place de l’Hôtel de ville sont restés figés, hypnotisés par l’appel des Sirènes. Un appel venu de nulle part. Rien de déjà entendu. Une cascade de sons à l’échelle de la ville qui a rempli l’espace en modulant toutes les émotions, du rire à la douceur. »

« Quand en 1820, Charles Cagniard de la Tour mit au point la sirène d’alarme, il n’imaginait pas qu’un luthier excentrique transformerait un jour son invention en instrument symphonique.(…) Comme un rêve attendu, le Chant des Sirènes des Mécaniques Vivantes a offert une émotion aussi rare que réelle. Un pur instant de magie